581
La matanza (p. 47). (N. de l'A.)
582
Ibid. (p. 51). (N. de l'A.)
583
«Le tuois de Noël, époque des abattages des cochons et des repas plantureux que l'on sert chez soi», in La parranda (p. 67-68). (N. de l'A.)
584
Un détail concernant l'habitat de cette famille est très révélateur de sa condition mais indique également la volonté de l'auteur de sittter la scène qu'il décrit dans les couches les plus populaires de l'Andalousie: «Une fenêtre pleine de fissures, dont les battants ne touchent ni la traverse dormante ni la pièce d'appui, montre, outre une solide bâcle qui la croise de bout en bout, un énorme verrou rouillé qui exécute une symphonie de grincements chaque fois qu'on le ferme», in La Noche-Buena (p. 31-32). (N. de l'A.)
585
Ibid. (p. 33-34). (N. de l'A.)
586
El Patio Andaluz (p. 12-13). (N. de l'A.)
587
El Molino (p. 131). (N. de l'A.)
588
Cuadro Bohemio (p. 141). (N. de l'A.)
589
Ibid. (p. 143). (N. de l'A.)
590
El titiritero (p. 94). (N. de l'A.)